Affaires Cahuzac et Bygmalion : pour un financement privé et transparent de la vie politique

Depuis 1988, c’est le contribuable, par le truchement de l’État, qui finance les partis. Mais n’y a-t-il pas un nouveau conflit d’intérêts entre ce mécène monopolistique et des organisations qui auront d’autant de mal à critiquer le niveau excessif des dépenses publiques et prélèvements obligatoires qu’elles en dépendent directement ?

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